"HiruAlde – les trois
espaces –
est en marche,
jouée par un orchestre où amitié, respect, exigence, ouvrent le chemin
d’une musique où l’âme s’incarne et voyage par les danses et la sensualité des sons."
jouée par un orchestre où amitié, respect, exigence, ouvrent le chemin
d’une musique où l’âme s’incarne et voyage par les danses et la sensualité des sons."
(saxophones)
Dans sa musique, les présences de Michel Doneda et Daunik Lazro se manifestent certes, mais c’est leur synthèse qui frappe… et déjà, cette limpidité des phrases, cette aventure poétique dans les sons, cette précision rythmique sans laquelle tout serait vain… et un grand calme dans une âme frissonnante, exigeante. Une manière d’être là très fort et aussi en même temps dans une envolée aventureuse, rêveuse.
(électroacoustique et batterie)
Le compositeur et batteur du groupe Sakya capte les sons de l’orchestre, les transforme par l’électronique en de riches expansions harmoniques, donnant des espaces immenses aux sons du groupe. Ses interventions rythmiques jouées sur les métaux sont comme un infra rythme précis, agissant tel un précieux liant. |
Julen achiary
(percussions et chant)
Il a composé les arrangements des musiques de ce spectacle. Il joue un riche ensemble de percussions, qui réunit les congas et cajones afro-cubains, les toms et la grosse caisse du jazz, les métaux des cymbales… Les mains, les baguettes, tout son corps réveillent les rythmes basques, kongos, yorubas, conduisent à des improvisations qui en exaltent les sucs et invitent aux voyages poétiques entre les musiques. Et il chante… dévoilant des facettes nouvelles de sa voix. Les « basa ahaide » réclament du souffle, de la force calme et profonde, de l’audace vers les cimes. Son chant sait aussi être tendre et rêveur, sa voix atteint alors des finesses extrêmes. Elle s’ensauvage dans la science et la sève des chants yoruba et leurs rythmes savants implacables… virevolte dans les sonorités pygmées. Tout l’orchestre est en dialogue permanent, fertile :
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